Un message en français suit.
HALIFAX, NS – The Atlantic Institute for Market Studies (AIMS) released this morning a public policy study about low-income tuition subsidies. Post-Secondary Tuition and Low-Income Access discusses New Brunswick’s Tuition Access Bursary (TAB) program, which covers college and university tuition for the children of families earning under $60,000 per year.
Author Patrick Webber is a Research Associate with AIMS, an independent public policy think tank that supports a free market economy. The Institute authors reports on public issues across a wide range of subjects, including education, healthcare, energy and finance. It operates entirely free of government subsidy.
Mr. Webber’s paper reviews numerous studies, surveys and reports from domestic and international sources, which speak to the relationship of tuition levels and participation rates. The data show that tuition is not a principal barrier to higher participation among those from low-income backgrounds.
Specific to Canada, Mr. Webber’s findings show that low-income participation has been lowest in Newfoundland and Labrador and Quebec, the provinces with the lowest tuition rates. Meanwhile, low-income participation is highest in Nova Scotia and Ontario, where rates are highest.
Webber criticizes the TAB program as a poor public policy, given its likely low rate of return. As an alternative, he suggests that tuition subsidies be based on merit, in addition to financial need. He also suggests that government aid be tailored to labour market needs in the province.
“Subsidizing tuition for low-income persons is a popular idea, but also a flawed one,” said Dr. Marco Navarro-Génie, President & CEO of AIMS. “Patrick Webber’s report shows that low-income participation is unlikely to significantly rise with full-tuition subsidies. He also provides an alternative with a smarter program to help those who need assistance and are likely to succeed.”
READ >> Post-Secondary Tuition and Low-Income Access
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Patrick Webber is available for interviews on this paper (media only):
Phone: 506-474-1298
E-mail: [email protected]
AIMS discute du programme d’aide aux études
HALIFAX – L’Institut atlantique d’études de marché (AIMS) publie ce matin un rapport concernant les subventions scolaires aux personnes à faible revenu. Post-Secondary Tuition and Low-Income Access, disponible exclusivement en anglais, traite du Programme d’aide aux études (PAE) au Nouveau-Brunswick, qui couvre les frais de scolarité à l’université ou collège communautaire pour les enfants des familles dont le revenu annuel est moins de 60,000$.
Son auteur Patrick Webber est confrère de recherche chez AIMS, institut de recherche sur la politique publique qui soutient l’économie de marché. Leurs auteurs produisent des rapports qui traitent d’une multitude de sujets dont l’éducation, la santé, l’énergie et l’environnement et la finance publique. AIMS est géré sans aucune subvention gouvernementale.
L’étude de M. Webber analyse de nombreux enquêtes, sondages et rapports des sources nationales et internationales, qui parle de la relation entre le taux des frais scolaire et des taux d’inscription. Les données montrent que les frais ne constituent pas d’une barrière principale à l’accès aux personnes à faible revenu.
Au Canada spécifiquement, les observations du M. Webber montrent que « l’inscription de faible revenu » était la plus faible en Terre-Neuve-et-Labrador et au Québec ; qui sont les provinces ayant les frais les moins chers. En même temps, ce taux était le plus élevé en Nouvelle-Écosse et à l’Ontario, où les frais sont les plus hauts.
Webber critique le PAE comme une politique publique mauvaise, au vu d’un taux de rentabilité qui est probablement faible. Comme alternative, il suggère que ces subventions soient basées sur le mérite, en plus de besoin financier. Il ajoute qu’il faut adapter l’aide aux besoins du marché du travail dans la province.
« Subventionner les frais de scolarité de la part des personnes au revenu faible est une idée à la mode, mais un qui a des défauts, » a dit le Dr. Marco Navarro-Génie, PDG de AIMS. « Le rapport de Patrick Webber démontre que l’inscription de ces personnes ne montera probablement pas avec des subventions complètes. Il propose également une alternative, avec un programme plus pratique pour aider ceux qui en ont besoin et sont susceptibles de réussir. »
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Le responsable de recherche chez AIMS, Jackson Doughart, est disponible pour discuter de l’étude en français. Veuillez lui téléphoner au (902) 429-1143 (x. 222) ou lui envoyer un courriel : [email protected].